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Critique d'album

David Bowie


Tonight


(01/09/1984 - - - Genre : Rock)
Produit par

1- Loving The Alien / 2- Don't Look Down / 3- God Only Knows / 4- Tonight / 5- Neighbourhood Threat / 6- Blue Jean / 7- Tumble And Twirl / 8- I Keep Forgettin' / 9- Dancing With The Big Boys
Note de 2/5
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Commentaires
DanielAR, le 12/07/2024 à 13:37
Si je peux me permettre (je suis loin d'être un érudit du Duke), j'éprouve une grande tendresse pour sa reprise ampoulée de "God Only Knows" dont la version originale reste la plus sublime mélodie composée par un être humain durant la seconde moitié du siècle dernier. Pour le reste, effectivement, le Major Tom s'était égaré dans l'espace infini (là où personne ne l'entendait chanter).
Amaury de Lauzanne, le 12/07/2024 à 06:49
Trop de flemme et pas de flamme. Après le feu d'artifice de Lets Dance et la tournée internationale des stades et des groupies avides de la star Bowie....David Jones balance un pétard mouillé, un disque très médiocre, creux et vain. Une gueule de bois mémorable après un festin qui ne le fut pas moins. Le nouveau public charmé par les hits de Lets Dance ne vit pas l'arnaque, mais les fans de longue date durent se pincer très fort les oreilles pour y croire... "Houston on a un problème"... Le major Tom part en vrille pour se crasher à grands coups de cuivres et de marimbas, de solos et de synthés convenus, de batterie balourde. La tour de contrôle a perdu tout contact avec Bowie totalement largué dans le nadir sidéral de son odyssée discographique. Comment expliquer ce passage à vide manifeste ? Des mauvaises langues persifleront que l'arrêt de la drogue n'a pas été une franche réussite sur le plan artistique...sacrée descente quand même....Pacte faustien implacable pour le prix de son succès au sommet, Bowie semble désormais cramé en rase campagne, vidé de toute substance, paressant dans une très lucrative zone de confort. Un long séjour de 5 semaines dans un studio canadien où il traîne son ennui avec plus de reprises que de chansons originales (Loving The Alien et Blue Jean) avant de dégager au pied levé le jeune ingénieur du son Derek Bramble (à 24 ans, comment tu dis à Bowie de refaire une prise quand la voix est bonne ?) pour le remplacer par un Hugh Paghdam ("Qui suis-je pour dire à David Bowie que ses chansons – Blue Jean et Tonight – sont nulles ?") producteur de The Police et Phil Collins. Bowie ne joue aucun instrument sur l'album et laisse la main de son propre aveu : "Hugh et Derek ont crée le son à eux deux. C'est bien de ne pas être impliqué dans ce domaine"....De Profundis...Et pour enterrer le tout bien lourdingue très premier degré, une production assommante dénuée d'esprit de finesse. Il est très probable que l'absence de Tony Visconti, fâché depuis 1983 pour avoir été "oublié" pour Niles Rodgers sur l'album Let's Dance, explique en grande partie la débandade esthétique de Tonight. Loving The Alien et Dont Look Down peuvent encore sauver la mise sur un malentendu mais on sent déjà un truc bizarre avec la coloration tropicale/reggae à l'image de la pochette....Que dire du reste en roue libre vers la sortie de route ? La preuve avec une reprise gentillette d'un standard des a